Impossible
Parfois c’est avec toi que le jour s’émerveille
Au tout petit matin brisant un rêve orange
Tu coules de rosée noyant le songe étrange
Quand mon regard volette et se pose en abeille
Tout au cœur de la fleur pour y boire à l’envi
Tu es mon impossible, belle et inaccessible
Un possible impossible
Impossible et pourtant
L’hiver souffle blafard suffoquant le soleil
Eteignant l’arc en ciel et sa pourpre vendange
Juste au bord de tes lèvres où se posent les anges
Où ta main se délie caressante et vermeille
Jusqu’au fond de mon coeur en pensées utopies
Tu es mon impossible, ardente inaccessible
Un possible impossible
Impossible et pourtant
C’est au ciel de pleurer ce matin à l’éveil
Et l’ondée toute douce coule lissant ta frange
Le printemps va percer et nous donner le change
Le jour s’écartelant aux rayons du soleil
Et jusqu’à la brunante vêtue d'inassouvie
Tu es mon impossible, tu m’inspires un possible
Un possible impossible
Impossible et pourtant
Fulgurante clarté chassant l’astre qui veille
L’été s’embrase et clame effarouchant les anges
Mais la torpeur te gagne, lovée au creux des langes
Paupières apaisées là tu bailles aux corneilles
Là la pensée vacille valsant à Varsovie
Valsant valse de Vienne tourbillon d’impossible
Un possible impossible
Impossible et pourtant
Déjà les branches plient accablées tristes vieilles
Déshabillées des ors et des blés mis en grange
Comme l’année passée comme si rien ne change
Comme si chaque année retournant au sommeil
De l’automne à l’hiver l’espoir s’est endormi
Tu souris l’impossible, ma douce inaccessible
L’impossible possible
Espérance au matin et muse chaque soir
Au tout petit matin brisant un rêve orange
Tu coules de rosée noyant le songe étrange
Quand mon regard volette et se pose en abeille
Tout au cœur de la fleur pour y boire à l’envi
Tu es mon impossible, belle et inaccessible
Un possible impossible
Impossible et pourtant
L’hiver souffle blafard suffoquant le soleil
Eteignant l’arc en ciel et sa pourpre vendange
Juste au bord de tes lèvres où se posent les anges
Où ta main se délie caressante et vermeille
Jusqu’au fond de mon coeur en pensées utopies
Tu es mon impossible, ardente inaccessible
Un possible impossible
Impossible et pourtant
C’est au ciel de pleurer ce matin à l’éveil
Et l’ondée toute douce coule lissant ta frange
Le printemps va percer et nous donner le change
Le jour s’écartelant aux rayons du soleil
Et jusqu’à la brunante vêtue d'inassouvie
Tu es mon impossible, tu m’inspires un possible
Un possible impossible
Impossible et pourtant
Fulgurante clarté chassant l’astre qui veille
L’été s’embrase et clame effarouchant les anges
Mais la torpeur te gagne, lovée au creux des langes
Paupières apaisées là tu bailles aux corneilles
Là la pensée vacille valsant à Varsovie
Valsant valse de Vienne tourbillon d’impossible
Un possible impossible
Impossible et pourtant
Déjà les branches plient accablées tristes vieilles
Déshabillées des ors et des blés mis en grange
Comme l’année passée comme si rien ne change
Comme si chaque année retournant au sommeil
De l’automne à l’hiver l’espoir s’est endormi
Tu souris l’impossible, ma douce inaccessible
L’impossible possible
Espérance au matin et muse chaque soir